Par Sephora Lukoki Kapinga
C’est au cœur de la capitale française, dans l’hôtel luxueux Marriott que la marque Younique fait son entrée. Créée en 2012 par un frère et une sœur, Derek Maxfield et Mélanie Huscroft, la marque cible particulièrement l’épanouissement personnel des femmes à l’échelle internationale. Younique a réussi à séduire de nombreuses femmes tant grâce à son système de vente directe que par ses produits cosmétiques naturels.
Enfin !
C’est parti pour le démarrage de Younique en France. Depuis plus d’un mois, le lancement de la marque Younique en France est annoncé sur les réseaux sociaux. Pour cet événement, rien n’est laissé au hasard. Hôtel luxueux, ambiance chaleureuse, petit déjeuner offert avec boisson chaude à volonté. Tout a été préparé soigneusement pour que chaque invité se sente le plus à l’aise possible. C’est dans une grande salle que les ambassadrices de Younique sont conviées à prendre place pour échanger et écouter les consignes avant le départ des ventes. Sur les chaises blocs-notes, stylos à l’effigie de la marque ainsi qu’un guide de présentation sont disposés. Une maquilleuse effectue une démonstration de maquillage sur une jeune fille et nous explique comment utiliser au mieux les produits. A l’extrémité de l’estrade, les produits phares (rouge à lèvres, fond de teint, crayon..) sont exposés. Des clientes et des ambassadrices affluent afin de les voir de plus près et davantage se familiariser avec la marque.
Opération séduction réussie
Younique se définit comme une grande famille d’entraide et de partage. Cet esprit typiquement anglo-saxon a séduit plus de 3400 personnes qui se sont inscrites, le 1er février dernier sur la plateforme Younique afin d’être les futures ambassadrices indépendantes. Alexandrine Boulard, représentante de Younique en France est la première à prendre la parole. Elle rappelle les trois missions de Younique : encourager, valoriser et surtout renforcer l’estime de soi. « Le plus important est d’être belle à l’extérieur comme à l’intérieur » ajoute-t-elle. La beauté, l’indépendance, l’entreprenariat et le côté international ont convaincu le public. S’occuper de la femme tout en lui proposant des avantages financiers appropriés fait partie des enjeux. Elle peut non seulement vendre mais aussi obtenir différentes sortes de récompenses financières. De plus, son statut change en fonction de son rendement. Elle débute en tant que présentatrice débutante et peut finir comme présentatrice exclusive.
Le modèle de Younique est une révolution et une aubaine. Stimuler l’esprit d’entreprise tout en s’adaptant à la personne. L’ambassadrice Younique peut travailler quand elle veut (délai de 3 mois avant d’être déclaré inactive) et où elle veut, à domicile comme à l’étranger, dans les pays où la marque est implantée. L’ambassadrice est encadrée par une marraine qui peut se trouver dans les quatre coins du monde, elle doit former son équipe afin de vendre des produits. Une commission de 20 à 30 % est perçue ainsi qu’une commission de 3 à 6% sur les ventes effectuées par son équipe. Philippe Dailey, le président d’honneur de la fédération de la vente directe rappelle aux auditrices les normes juridiques et commerciales de la vente au détail afin de leur donner toutes les armes nécessaires pour commencer l’aventure. A la fin, une session questions/réponses de trente minutes est programmée pour répondre aux incompréhensions.
Témoignages des ambassadrices, désormais futures vendeuses à domicile indépendante (VDI).
Naomi Tshibambe, 25 ans, vendeuse à C&A en temps partiel.

« J’ai connu Younique par le biais de ma belle-sœur au Canada. En novembre dernier, l’entreprise cherchait des présentatrices, j’ai donc posé ma candidature. Ce qui m’a le plus motivée à participer c’est le côté indépendant. Ainsi que les produits 100% naturels comme le mascara 3D qui a une texture différente, il est plus léger, on n’en trouve pas partout.
Au-delà de l’entrepreneuriat, Younique demande aussi un travail minutieux. Car en tant que présentatrice, j’ai été amené à recruter des filleuls afin de former mon équipe. Et tout cela prend du temps parce qu’il faut choisir les bonnes personnes. J’ai choisi Lise, une blogueuse intéressée par la question ethnique ainsi que Tenessee, une maquilleuse professionnelle. J’ai préféré choisir des personnes qui vont m’apporter des techniques et encore plus de connaissances. Il ne s’agit pas seulement de gagner de l’argent mais surtout de créer de liens et de s’ouvrir. Après avoir payé le kit de démarrage à 107 euros, je suis prête à me lancer dans l’expérience de la vente directe. D’ailleurs, à partir du 1er mars, mon site sera à disposition pour toutes commandes https://www.youniqueproducts.com/youbypoppy.
Aurélie Noël, 29 ans, esthéticienne à domicile depuis un an.

« Younique est l’occasion d’augmenter mon chiffre d’affaires et de proposer des produits de qualité à mes clientes. Le fond de teint, le mascara 3D ainsi que les autres produits sont comme leurs noms l’indiquent : uniques. C’est l’opportunité d’avoir des résultats. Les ingrédients naturels à base de fibre de collagène et de thé vert prennent soin de la peau. Et c’est très important pour les acheteurs ».
Sabrina Hamidi, 28 ans, assistante polyvalente pour une agence d’hôtesse et diététicienne à domicile.

« Depuis 2012, je vois des publicités sur Facebook qui affichent le fameux mascara de Younique effet 3D. J’avais déjà entendu parler de cette entreprise mais depuis hier je suis officiellement vendeuse indépendante chez Younique. Pour réussir à vendre les produits, les réseaux sociaux (Twitter, Instagram, Pinterest, Facebook) sont les meilleurs supports. J’ai recruté ma filleul en étant sur Facebook, cette dernière vit en Savoie. Younique crée des liens d’amitié ».
Younique est une révolution car elle propose des produits sans dérivés pétrochimiques. Avec l’arrivée du bio, le succès sera sans précédent en France. De plus, elle ne se limite pas seulement au soin de la peau, elle redonne espoir aux femmes qui ont été sexuellement abusées dans leur enfance. Younique est une entreprise qui vise l’humain avant tout. Sur le long terme, j’envisage de développer ma société en France comme à l’international afin de former les filles au chômage. J’aimerais les aider à trouver un but, une activité qui les valorise et les aider à prospérer ».
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