Par Kapinga-Sephora Lukoki
Dans son livre « la force des femmes », le prix Nobel de la Paix Dr Denis Mukwege accentue sur le fait que la lutte pour les droits des femmes doit être une lutte commune. L’homme doit faire partie de la solution pour que la société prenne un autre tournant. La lutte contre les injustices et les violences faites aux femmes concernent tout le monde.
Selon l’ONU Femmes : « dans le monde, une femme sur trois a fait l’expérience de violences physiques ou sexuelles à un moment donné de sa vie. » Le viol reste encore largement impuni de par le monde dans les zones de conflit constate Dr Dénis Mukwege.
Il faut donc plus d’actions et d’engagement des États pour stopper ces violences à l’égard des femmes. Cet article d’Amnesty International revient sur les traitements inhumains attribués aux femmes https://www.amnesty.fr/focus/droit-des-femmes?gclid=EAIaIQobChMIton2j8u29gIVlLLVCh0lxgI0EAAYAyAAEgKcg_D_BwEhttps://www.amnesty.fr/focus/droit-des-femmes?gclid=EAIaIQobChMIton2j8u29gIVlLLVCh0lxgI0EAAYAyAAEgKcg_D_BwE
Thomas Sankara affirmera : « dans le patriarcat, la femme est opprimée. Elles deviennent le butin de l’homme ou ses conquêtes de marché. Le sort de la femme ne s’améliorera qu’avec la liquidation du système qui l’exploite. (Livre l’émancipation des femmes et la lutte de libération de l’Afrique de Thomas Sankara).
Les garçons d’aujourd’hui qui deviendront les hommes de demain doivent être éduqués pour ne pas reproduire les mêmes schémas d’oppression contre la femme. Chacun a un rôle à jouer.
Aspirer à une société plus juste où les femmes ne seront pas considérées comme des machines crées pour accomplir toutes les tâches domestiques, c’est déjà sortir des préjugés sur le genre.
Il faut que les mentalités évoluent, que ces dernières accèdent à des postes à responsabilité au même titre que les hommes et tracent leur propre destinée.
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