Par SLK
L’acceptation peut prendre du temps.
Surtout lorsque les motifs et les raisons nous semblent si difficiles à accepter.
Je pense que chacun a ses méthodes pour se relever, oublier, recommencer, avancer, guérir…

Le temps peut paraître long, très long dans cette période. Les pensées fusent et elles sont souvent loin d’être très positives. C’est un véritable combat intérieur. Les victoires d’hier nous rappellent que la bataille présente sera aussi certainement une victoire.
Oui, on vaincra…
On prend la décision de se dire cela pour se rassurer et encaisser le choc. C’est un véritable bouleversement. C’est inattendu enfin pas tant que ça si on analyse les éléments, c’était peut-être prévisible mais on s’est voilé la face. Qu’importe. La vie continue. On apprend à vivre avec un lot d’incompréhensions et de questions dont on aura probablement jamais les réponses. On apprend à sourire après avoir pleuré. On essaye d’y croire encore même si les chances en notre faveur sont inexistantes. On se raccroche à des souvenirs, des conversations, des écrits, un prénom, une situation…
En espérant un jour le plus vite possible qu’on finira enfin par avoir des explications et peut-être avoir ce que notre coeur désirait tant. Cette réponse enfin pour clore le chapitre. On tient… On se force à rester fort.e. On n’a pas le choix. On se dit « ca va aller, Dieu est là. » Et on se rappelle d’une parole avant de s’endormir qui nous a donné des frissons : « Tous ceux qui espèrent en toi ne seront point confondus… » (Psaume 25/3).
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